« La Tunisie est de retour sur la scène économique et elle est ouverte à toutes les opportunités de coopération avec ses partenaires pour atteindre les taux de croissance les plus élevés, permettant de créer le plus grand nombre d’emplois « , a souligné le premier responsable de la FIPA.
« Le plan de développement est un message très fort lancé par la Tunisie qui ouvre ses bras à l’investissement, dans une approche gagnant- gagnant… Le pays a mis en place les piliers économiques nécessaires (loi sur le PPP, loi de l’investissement, loi sur les énergies renouvelables et loi sur la concurrence et les prix) »
« La Tunisie attend de cet événement, le changement de l’image stéréotypée du pays acquise après la révolution, celle d’un pays instable aux plans social, politique et sécuritaire. Aujourd’hui, nous voulons montrer que cette phase a été dépassée, grâce à une transition démocratique que nous considérons et avec nous tout le monde, comme réussie… La Tunisie est aujourd’hui, passée à une transition économique, à une nouvelle vision de l’économie nationale, traduite dans le plan de développement 2016-2020″.
» Il s’agit également, de présenter aux investisseurs, pays étrangers et bailleurs des fonds, les projets inscrits au plan de développement 2016-2020, et leur montrer comment l’infrastructure du pays sera améliorée au cours de la prochaine période, surtout que 70% projets d’infrastructure sont dédiés aux régions intérieures du pays ».
« S’agissant des obstacles à l’investissement qui sont liés notamment à la complexité des procédures administratives évoqués par les investisseurs, leur traitement se fera grâce aux dispositions de la loi sur l’investissement mais aussi, celles de la loi sur l’urgence économique, qui n’a pas encore été adoptée par l’ARP ».
« Nous présenterons également, les avantages qu’offre la Tunisie par rapport aux autres pays concurrents, notamment en terme de facteurs de production, soit une réduction des coûts de 20 à 30%, pour l’investisseur. De plus, le pays dispose de compétences tunisiennes diplômées d’universités reconnues et peut se prévaloir de son expérience dans les secteurs des TIC, agriculture, industries automobile et aéronautique, ainsi que dans l’industrie textile.